Le covoiturage raconté par les collaborateurs Suravenir
Le covoiturage raconté par les collaborateurs Suravenir

[Covoiturage] Nos collaborateurs en parlent 🚗

Le covoiturage, c'est encore ceux qui le vivent qui en parlent le mieux, voici le témoignage de certains de tes collègues, adeptes de la pratique.

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Habitant et travaillant sur Quimper, Laurent s'est mis au covoiturage dès 2010 au moment où il commence à travailler à Brest.

“ On était 3 de mon service, il y avait un roulement pour savoir qui prenait sa voiture. Ça fonctionnait très bien, jusqu’à ce que mes collègues partent en retraite.

Pour retrouver un covoitureur, j’en ai parlé autour de moi et j’ai trouvé quelqu’un qui travaille au Groupe à Mirabeau. On fonctionne avec Blablacar Daily et tout se passe très bien.

C’est que du bonus puisque ça permet de réduire les frais de transport, surtout avec l’envolée du prix de l’essence. D’un point de vue fatigue aussi, ça réduit les temps de conduite donc les risques d’accident quelque part.

L’inconvénient, c’est qu’on est un peu moins flexible donc on fait des compromis et on s’arrange. Mais avec la mise en place du forfait mobilité douce par Suravenir, c’est intéressant. ”

 

Marie-Haude et Christine travaillent dans le même département. Elles se sont mises au covoiturage il y a un peu plus d’un an.

Marie-Haude  : “ On a commencé le covoiturage notamment parce que je suis sensibilisée au développement durable. Si on peut faire des petites choses à notre niveau, c’est important de les faire.

C’est aussi gagnant-gagnant sur le plan financier, notamment avec l’augmentation du coût du carburant. ”

Christine : “ Ca s’est fait assez naturellement parce qu’on habite pas très loin l’une de l’autre et qu’on covoiturait déjà de temps en temps de manière très ponctuelle. Maintenant, on essaie de covoiturer 2 fois par semaine, parfois même 3. Certaines personnes sont parfois freinées pour faire du covoiturage parce qu'elles seraient sans voiture et ne pourraient pas bouger mais il y a les vélos électriques ou la Zoé mis à disposition par Suravenir si besoin. “

Marie-Haude : “ Et puis, il suffit de s’organiser et de s’adapter pour le faire les jours où on ne covoiture pas. Il faut juste accepter de modifier un tout petit peu ses habitudes mais ce n’est pas non plus dérangeant. On s’adapte aux contraintes les unes des autres. On peut faire l’effort vu ce que le covoiturage nous apporte. 

Christine : “ Il faut essayer pour tester. Ce n’est pas lourd à mettre en place, c’est une habitude à prendre. Et puis le gain financier n’est pas négligeable entre la réduction des coûts et le forfait mobilité douce qui peut aller jusqu’à 700€ par an. Ça permet de créer du lien aussi avec les collègues, ça facilite les échanges. ”

Marie-Haude : “ On continue de passer par Blablacar Daily, notamment pour garder un historique de nos trajets. ”

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Christelle s’est retrouvée sans véhicule pendant quelques mois et a donc commencé il y a un an le covoiturage, un peu contrainte et forcée.

“ J’ai d’abord covoituré avec des membres de ma famille puis des covoitureurs via BlaBlaCar Daily.

C’est sûr que c’est un peu d’organisation et on est moins flexibles mais ça permet de faire des économies. Et puis c’est assez sympa, ça permet d’échanger avec les autres, que ce soit des covoitureurs inconnus ou des collègues. J’ai besoin de ce côté humain.

Je ne suis pas sûre que j’aurais passé le cap si je n’avais pas été obligée de le faire mais c’est une habitude à prendre. J’y trouve vraiment mon équilibre.

Au début, on n'ose pas passer le cap mais il faut le tenter au moins sur 1 mois. Tentez l'expérience, elle peut vous convenir ou pas !